Une belle aventure musicale
« Sylvain Sartre mène Les Ombres avec talent, en connaisseur de Destouches, avec une métrique infaillible et des élans que l’on apprécie particulièrement. » [Lire l'article en entier] ...
« Sylvain Sartre mène Les Ombres avec talent, en connaisseur de Destouches, avec une métrique infaillible et des élans que l’on apprécie particulièrement. » [Lire l'article en entier] ...
« La plénitude et les couleurs sont comme de juste les compagnes du style. Sens du drame jusque dans le détail, surprise des contrastes, faste des divertissements, opulence du continuo, tout cela réjouit. La distribution féminine est aussi d’un niveau exceptionnel. » [Source] ...
« Nouveau chef d’oeuvre ! Il faut louer, chez l’ensemble Les Ombres, non seulement la densité des cordes, mais aussi les pupitres des flûtes et des hautbois, sonnants et enjôleurs. Sylvain Sartre fait swinguer l’orchestre, sans omettre la monumentale « Chaconne », déroulée sans raideur, ni sécheresse. » [Lire l'article en entier] ...
Fidèle à sa mission (en collaboration avec Versailles), le Festival d’Ambronay a confié à l’équipe des Ombres la révélation du “Télémaque & Calypso” de Destouches : grande soirée. Quand ce Télémaque fut créé à l’Opéra de Paris en novembre 1714, on pouvait lire dans la presse cet éloge de Destouches, plus fêté alors que Campra : « il n’est pas comme la plupart des musiciens qui n’ont que la note pour tout talent. Il...
Une mission au Siam avec les Jésuites, un engagement dans l’armée, André Cardinal Destouches se tourne vers la musique à 22 ans où il accumule les promotions jusqu’à sa nomination en 1728 au poste de directeur de l’Académie royale de musique, ce qui lui vaudra de multiples jalousies. Les temps sont devenus plus frivoles mais il n’en demeure pas moins dans le sillage de la tragédie lyrique de Lully. L’action va quand même plus...
« Dans ce disque, la proposition de l’ensemble Les Ombres est aussi pertinente que sincère. Ne se sentirait-on privilégié d’être associé à de tels instants de grâce ? Tout au long de cette large heure de musique brille un plaisir exquis, émané d’une équipe qui nous enchante et qui, il y a deux siècles et demi, aurait certainement tout autant ravi les hôtes de marque de cette « Bach – Abel Society. » ...
Les Ombres take us back to the elegant evenings of the Bach-Abel concerts in London. There is a lovely sense of conviviality to these recordings, friends making music together, and also a discreet virtuosity in some of the music. Style and elegance is to the fore, and we never feel that the viola da gamba is an 'ancient' curiosity, it is fully part of the 18th century style. But what the disc really does is...
Three years after Bach’s youngest son Johann Christian met viola da gamba virtuoso Carl Friedrich Abel in London, the two of them started up a select subscription concert society that ran from 1765 until Bach’s death in 1782. This disc by French period ensemble Les Ombres aims to recreate the type of chamber programme that the wealthy London subscribers would have been treated to, and a very engaging mix it is. [Read] ...
"Un album d'autant plus exquis qu'il est accessible à toutes les oreilles" [Lire l'article] ...
 
