Archives des Mirare - Les Ombres

3 octobre 2022

Bach Abel Society

En 1765, Johann Christian Bach, installé à Londres, établit avec son ami Karl Friedrich Abel les prestigieux « Bach Abel Concerts ». En s’entourant d’artistes parmi les plus talentueux de leur génération, Margaux Blanchard et Sylvain Sartre nous proposent de redécouvrir la musique qui anima les luxueux salons londoniens de la fin du XVIIIe siècle. La promesse d’être admis, le temps d’une écoute, dans la très sélect Bach Abel Society. Un album d'un goût excquis...

4 septembre 2020

L.Boccherini – Une nuit à Madrid

Les Ombres rendent hommage à un compositeur libre et audacieux, insatiable voyageur et inventeur du quatuor à cordes : Luigi Boccherini dont le génie reconnu tardivement l’installe définitivement à une place majeure dans l’histoire de la musique. Le bel ensemble Les Ombres s’empare avec jubilation de ces divertissements somptueux, tout en jeux rythmiques et timbriques. Sophie Bourdais - Télérama Avec Boccherini, Les Ombres sont éclatantes ! Nathalie Niervèze - Classique mais pas has...

14 septembre 2018

F.Couperin – Leçons de ténèbres & motets

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Après Les Nations de François Couperin, Les Ombres livrent des leçons à l’image des lamentazioni italiennes, créant une atmosphère en clair-obscur autour d’un des chefs-d’œuvre les plus mystérieux de son temps avec les interprètes spécialistes du répertoire : Chantal Santon Jeffery, Anne Magouët et Benoit Arnould.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]...

26 janvier 2015

Sémélé

Les Ombres, réunies en orchestre de chambre, mettent en perspective les chefs-d’œuvre homonymes de Haendel, Marais et Destouches. « Dans le goût théâtral », elles tracent un chemin imaginaire entre l’expressivité émouvante de la tragédie lyrique, la poésie intime de la cantate française, et le flamboiement de l’opéra italien. Sous le charme du baroque, la troublante Sémélé trouve son partenaire idéal… en musique....

26 janvier 2014

Telemann – Quatuors parisiens

À l’apogée du baroque et loin de tout formalisme, Telemann célèbre dans ces quatuors la réunion des langages européens de son temps. Son imagination s’y renouvelle sans cesse dans le but unique de séduire et de charmer. Un bonheur de tous les instants. ...